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ENKISME ☥
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  • L'Enkisme n'est pas une religion, ni une secte. Il s'agit d'une croyance où l'on nous explique la venue de dieux extra-terrestres qui seraient venus sur Terre il y a quelques centaines de milliers d'années, dans le but de nous enseigner la Connaissance.
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ENKISME ☥
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6 décembre 2013

L'arche de Noé... ou de Ziusudra La plupart des

L'arche de Noé... ou de Ziusudra

 

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La plupart des chercheurs contemporains acceptent la thèse que le Déluge biblique est intimement lié à un cycle de la mythologie assyro-babylonienne, avec laquelle il partage de nombreux points communs. La plus ancienne version de l’épopée d’Atrahasis a pu être datée du règne de l’arrière-petit-fils d’Hammurabi, Ammisaduqa (de -1646 à -1626), et a continué à être reproduite jusqu’au premier millénaire avant l'ère chrétienne.
À en juger par son écriture, la légende de Ziusudra pourrait quant à elle remonter à la fin du XVIIe siècle av. J.-C., tandis que l’histoire d’Uta-Napishtim, qui nous est connue grâce à des manuscrits du premier millénaire avant notre ère, est probablement une variation sur l’épopée d’Atrahasis.

[source : Wikipédia]

C'est l'histoire de Ziusudra qui va nous intéresser, elle-même expliquée dans le Livre perdu du Dieu Enki, fin de 9ème et début de 10ème tablette sumérienne.

Nous faisons un bond de quelques millénaires après la création de la race Humaine pour citer un autre exemple, comme quoi la plupart des religions actuelles se sont inspirées de faits déjà cités dans les croyances sumériennes, mais nous éviterons de trop nous attarder sur ces copies et autres usurpations, nous avons plus intéressant à découvrir. En revanche, je vous encourage à faire vos propres recherches si vous souhaitez en savoir plus sur ce sujet.

 

9ème TABLETTE :


Je vais maintenant parler des tourments de la Terre avant le Déluge, et expliquer comment les mystérieuses décisions de Galzu décidèrent en secret de qui devait vivre et qui devait mourir.
Enlil était très perturbé par l'union des Igigis et des Terriennes.
Le mariage de Marduk avec l'une d'elles l'avait bouleversé.
A ses yeux, la mission Terre des Annunakis avait été pervertie.
Les cris de la foule des Terriens lui faisaient horreur.
- Les Terriens sont devenus oppressants, les unions interplanétaires m'empêchent de dormir ! disait-il aux autres chefs.
Du vivant de Ziusudra (fils d'Enki et d'une Terrienne), peste et épidémies ravagaient la Terre.
Les Terriens souffraient de toutes sortes de maux, de frissons, de vertiges et de fièvres.
- Apprenons aux Terriens à guérir. Qu'ils apprennent à se soigner eux-mêmes ! dit Ninmah.
- Je te l'interdis formellement ! lui répondit Enlil.
Les Terriens se sont multipliés, les sources sont à sec, la terre n'est plus fertile, les plantes ne poussent pas.
- Enseignons-leur comment creuser mares et canaux, qu'ils tirent leur subsistance de la mer et de ses poissons ! propose Enki.
- Je l'interdis formellement ! répondit Enlil.



Que les Terriens succombent à la famine et aux épidémies !
Un Shar* durant les Terriens se nourrirent des plantes sauvages.
Pendant un second Shar puis un troisième, ils subirent la vengeance d'Enlil.
A Shurubak, la ville de Ziusudra, les souffrances étaient devenues insupportables.
Ziusudra se rendit à Eridu en tant que porte-parole des Terriens.
Il trouva le chemin de la maison du Seigneur Enki et l'appela par son nom, le suppliant d'apporter son aide aux Terriens.
Tenu de respecter les décisions d'Enlil, Enki ne pouvait agir.
A cette époque, les Anunnakis s'inquiétaient pour leur propre survie.
Leurs propres rations avaient été réduites, et les changements de la Terre commençaient à les affecter.
Sur Terre comme sur Lahmu, les saisons étaient devenues irrégulières.
Pendant un Shar, puis deux, les savants de Nibiru observèrent les circuits célestes.
Ils remarquèrent d'étranges phénomènes dans les destins planétaires.
Des points noirs apparaissaient à la surface du Soleil. Des flammes en surgissaient.
Kishar (Jupiter) se comportait également de façon étrange. Son armée perdait l'équilibre, ses satellites semblaient devenus fous.
Pour une raison inconnue, le Soleil indisposait sa famille.
Un sort peu favorable avait pris le pas sur la destinée des êtres célestes.
Sur Nibiru, les savants tirèrent la sonnette d'alarme. Le peuple se rassembla sur les places publiques.
- Le Créateur Universel est en colère, le Créateur Universel  veut rendre aux cieux leur forme primordiale ! criaient des voix dans la foule.

*Un Shar représente 3600 ans d'après Zécharia Sitchin, mais cette donnée n'est pas fiable, cela représenterait moins en temps.



Sur Terre, les difficultés augmentaient, la peur et la famine régnaient en maîtres.
Pendant trois Shars, pendant quatres Shars, les instruments tournés vers le Pays Blanc furent observés.
Nergal (fils d'Enki, dirigeant l'Abzu Inférieur avec son épouse Ereshkigal) et Ereshkigal remarquèrent d'étranges grondements dans les neiges.
- La couche de neige et de glace qui recouvre le Pays Blanc est en train de glisser ! rapportèrent-ils depuis la pointe de l'Abzu.
Ninurta installa des instruments de prévision dans son domaine du Pays au-delà des Mers.
Il remarqua des tremblements et des secousses au plus profond de la Terre.
Enlil avertit Anu que quelque chose d'étrange était en train de se préparer.
Au cours du cinquième Shar, le phénomène s'accentua.
Sur Nibiru, les savants avertirent le roi des catastrophes qui se préparaient.
- La prochaine fois que Nibiru s'approchera du Soleil, la Terre sera exposée à son champ magnétique.
Lahmu se trouvera alors de l'autre côté du Soleil, laissant la Terre sans protection.
Kishar et son armée seront agités, Lahamu devrait également trembler.
La couche de neige et de glace qui se trouve en dessous de la Terre, dans le Pays Blanc, est en train de se détacher.
La prochaine fois que Nibiru s'approchera de la Terre, elle glissera dans l'eau, provoquant une catastrophe.
La Terre sera recouverte par une immense vague, un Déluge !
Sur Nibiru, le roi, les savants et les conseillers étaient consternés.
Ils ne savaient pas quel serait le sort de Nibiru, mais ceux de la Terre et de Lahmu les préoccupaient également.
Le roi et ses conseillers prirent une décision : il fallait se préparer à évacuer la Terre et Lahmu !



Les mines de l'Abzu furent fermées, les Anunnakis qui y travaillaient rejoignirent l'Edin.
A Bad-Tibira (ville où Ninurta extrait et raffine l'or), on cessa de fondre et de raffiner le minerai. Tout l'or fut stocké et expédié vers Nibiru.
Une flotte de Chars Célestes rapides fut envoyée sur Terre pour procéder à l'évacuation.
Les Nibiriens observaient les signes du ciel. Sur Terre, les tremblements se faisaient sentir.
C'est à cette époque qu'un Annunaki aux cheveux blancs sortit de l'un des Chars Célestes.
Son nom était Galzu, "Celui qui possède un grand savoir".
Il se dirigea vers Enlil d'un pas majestueux et lui présenta un message d'Anu, scellé.
- Je suis Galzu, émissaire plénipotentiaire du roi et du conseil, déclara le nouveau venu.
Enlil était surpris qu'Anu ne l'ait pas prévenu. Il examina le sceau, qui lui parut authentique et intact.
A Nibru-ki, il lut les mots qu'Anu avait inscrits sur la tablette :
"Galzu s'exprime au nom du roi et du conseil, ses mots sont mes ordres !" disait le message.
Galzu demanda qu'Enki et Ninmah soient également convoqués.
Lorsqu'ils arrivèrent, Galzu sourit à Ninmah :
Nous avons fréquenté la même école, nous avons le même âge ! lui dit-il.
Ninmah ne s'en souvenait pas. L'émissaire avait l'air si jeune qu'il aurait pu être son fils.
- C'est très simple, lui dit Galzu. Cela est dû à la lenteur des cycles de vie de notre hiver, et c'est l'une des raisons de ma mission.
C'est également l'une des raisons secrètes de l'évacuation.
Depuis le séjour de Dumuzi sur Nibiru, nous avons étudié les Annunakis revenant sur notre planète.
Ceux qui avaient passé le plus de temps sur Terre étaient gravement atteints.



Leurs corps n'étaient plus habitués à la longueur des cycles de Nibiru.
Leur sommeil était perturbé, leur vue faiblissante, la force d'attraction de Nibiru ralentissait leur marche.
Leur esprit était également affecté, car les fils revenaient plus âgés que les parents qu'ils avaiet quittés !
La mort, mes amis, ne tarda pas à venir les chercher. Voilà de quoi je suis venu vous avertir !
Les trois chefs ne disaient mot. Ils avaient séjourné sur Terre plus longtemps que quiconque.
Ninmah fut la première à briser le silence :
- Nous nous en doutions ! dit-elle.
Enki acquiesça :
- Nous le savions déjà ! dit-il.
Enlil était en proie à la colère :
- Avant, les Terriens étaient en train de devenir comme nous. Maintenant c'est nous qui sommes devenus prisonniers de cette planète !
Cette mission s'est muée en un cauchemar. Nous étions les maîtres, Enki et ses Terriens ont fait de nous des esclaves !
Galzu écouta cet accès de colère avec compassion :
- En effet, il y a de nombreuses choses auxquelles nous devons penser.
Sur Nibiru, nous avons beaucup réfléchi, nous nous sommes posé des questions existentielles :
Aurions-nous dû abandonner Nibiru à son sort ? Aurions-nous dû laisser le dessein du Créateur Universel se réaliser, quelles qu'en soient les conséquences ?
A moins bien sûr que notre venue sur Terre n'ait été prévue par le Créateur, et que nous ne soyons que ses émissaires ?
Le débat, mes amis, continue ! leur dit Galzu.
Je vais maintenant vous délivrer un ordre secret de Nibiru : vous devez tous trois rester sur Terre. Si vous retourniez sur Nibiru, seule la mort vous y attendrait !



Vous attendrez à bord de vaisseaux en orbite autour de la Terre que la catastrophe se produise.
Les autres Annunakis auront le choix de partir ou de rester.
Les Igigis qui ont épousé des Terriennes devront choisir entre le départ et leurs épouses.
Aucun Terrien, y compris Sarpanit (femme de Marduk), n'est autoriser à séjourner sur Nibiru !
Ceux qui veulent rester et assister à ce qui se produira devront se réfugier à bord de Chars Célestes.
Quant aux autres, qu'ils se préparent à partir pour Nibiru sur le champ !
C'est ainsi que Galzu révéla en secret les ordres de Nibiru aux trois dirigeants.



Je vais maintenant raconter comment les Annunakis décidèrent d'abandonner la Terre, et comment ils firent le serment de laisser l'Humanité périr durant le Déluge.
Enlil convoqua à Nibru-ki un conseil d'Annunakis et d'Igigis.
Les fils des chefs et leurs enfants étaient également présents.
Il leur révéla l'imminence de la catastrophe.
- La Mission Terre est arrivée à sa fin, et c'est une fin bien amère, leur dit-il solennellement.
Tous ceux qui le souhaitaient peuvent repartir pour Nibiru à bord des Chars Célestes qui ont été préparés pour l'évacuation.
Ceux qui ont épousé des Terriennes doivent partir sans elles.
Les Igigis qui sont attachés à leurs femmes et à leurs enfants devront les guider vers les plus hauts sommets de la Terre.
Les quelques-uns d'entre nous qui choisiront de rester attendront dans les cieux de la Terre que la catastrophe se produise.
Nous serons les témoins de son sort !
En tant que commandant, il est de mon devoir de rester. Que les autres prennent leur décision eux-mêmes, dit Enlil.



- Je choisis de rester auprès de mon père et d'affronter la catastrophe ! annonça Ninurta.
Je retournerai au Pays au-delà des Mers après le Déluge.
Nannar, le premier fils d'Enlil à être né sur Terre, émit un souhait étrange : il désirait attendre l'arrivée du Déluge sur la Lune, et non dans le ciel de la Terre.
Enki souleva un sourcil. Enlil, bien qu'étonné, lui donna son assentiment.
Ishkur, le plus jeune fils d'Enlil, décida de rester sur Terre avec son père.
Utu et Inanna, enfants de Nannar nés sur Terre, déclarèrent qu'ils resteraient.
Enki et Ninki choisirent de ne pas abandonner la Terre, et c'est avec fierté qu'ils l'annoncèrent.
Avec colère, Marduk déclara qu'il n'abandonnerait ni les Igigis, ni Sarpanit.
Nergal et Gibil, Ninagal, Ningishzidda et Dumuzi, les uns après les autres, les fils d'Enki annoncèrent leur décision de rester. Tous les regards se tournèrent vers Ninmah, qui annonça son choix avec fierté :
- Le travail de ma vie est ici. J'ai crée les Terriens, je ne les abandonnerai pas !
Ses mots soulevèrent des exclamations parmi les Annunakis et les Igigis, qui s'enquirent du sort des Terriens.
- Les Terriens sont une abomination : qu'ils périssent ! déclara Enlil.
- C'est nous qui avons crée cet être merveilleux, c'est à nous de la sauver ! s'écria Enki.
- Depuis le tout début, tu modifies chacune des décisions !
Tu as permis aux Travailleurs Primitifs de procréer, tu leur as donné la Connaissance !
Tu t'es emparé des pouvoirs du Créateur Universel, mais tu ne t'es pas arrêté là. Tu as conçu Adamu et tu as donné l'intelligence à sa lignée !



Tu as emmené sa descendance dans les cieux, tu as partagé avec eux notre Sagesse !
Tu as brisé toutes les règles, tu as ignoré les décisions et les ordres.
A cause de toi, un Terrien Civilisé a assassiné son frère.
A cause de ton fils Marduk, les Igigis ont épousé des Terriennes.
Qui règne sur Nibiru, à qui la Terre appartient-elle ? Plus personne ne le sait !
Je dis que c'en est assez ! Ces abominations ne peuvent continuer !
Une catastrophe inconnue est sur le point de s'abattre.
Que ce qui doit arriver, arrive ! déclara Enlil avec colère.
Il demanda à tous les chefs de faire le serment de ne pas interférer avec le cours des événements.
Ninurta fut le premier à promettre de garder le silence, suivi par les autres partisans d'Enlil.
Nergal fut le premier des fils d'Enki à prêter serment, suivi par ses frères.
- Je me plie à tes ordres, dit Marduk à Enlil. Mais que vaut ce serment ?
Si les Igigis abandonnent leurs épouses, la peur ne se répandra-t-elle pas parmi les Terriennes ?
Ninmah était en larmes, elle murmura le serment d'une voix faible.
Enlil dévisagea sn frère Enki.
- C'est la volonté du roi et celle du Conseil ! lui dit-il.
- Pourquoi veux-tu me lier par un serment ? lui demanda Enki.
Tu as pris cette décision. Sur Terre, cela équivaut à un ordre !
Je ne peux pas arrêter les eaux, je ne peux pas sauver la multitude des Terriens.
Pourquoi donc désires-tu me faire prononcer ce serment ? demanda Enki à son frère.



Laisser les événements se dérouler comme s'ils avaient été décrétés par le sort, que cela soit connu comme étant la Décision d'Enlil.
Qu'il en porte la responsabilité pour toujours ! dit Enki avant de quitter rapidement, suivi de Marduk.
Enlil rappela l'assemblée à l'ordre, puis il répartit les tâches.
Il fallait séparer ceux qui avaient choisi de partir et ceux qui avaient choisi de rester, désigner des lieux de rassemblement, réunir l'équipement, assigner un vaisseau à chaque groupe.
Les premiers à partir furent ceux qui voulaient rentrer sur Nibiru.
Ils montèrent à bord des bateaux célestes au milieu des effusions, avec une joie teintée de peine.
L'un après l'autre, les vaisseaux quittèrent Sippar.
Au début, ceux qui avaient choisi de rester leur souhaitaient bon voyage, mais leurs cris se muèrent bientôt en larmes.
Une fois que tous les vaisseaux partant pour Nibiru eurent disparu, ce fut le tour de Marduk et des Igigis qui avaient épousé des Terriennes.
Marduk les rassembla tous sur la Piste d'Atterrissage et leur donna le choix : se rendre sur Lahmu aux côtés de Sarpanit et de lui-même pour y attendre le passage de la catastrophe, ou essayer de trouver refuge sur les lointains sommets de la Terre.
Enlil prit note de ceux qui choisirent de rester, et assigna un Char Céleste à chaque groupe.
Il envoya Ninurta dans les montagnes au-delà des océans pour qu'il l'informe des grondements de la Terre.
Nergal et Ereshkigal furent chargés de surveiller le Pays Blanc.
Il confia à Ishkur la tâche de prévenir une ruée de Terriens en érigeant une barrière pour leur barrer le passage.
Sippar, le Spatioport, était le centre de tous les préparatifs.
Enlil y apporta les Tablettes de la Destinée depuis Nibru-Ki, et un Lien Ciel-Terre temporaire y fut établi.
Puis il s'adressa à son frère Enki :



- Si nous survivons à cette catastrophe, souvenons-nous de ce qui s'est passé.
Enterrons les tablettes des annales à Sippar, dans les profondeurs de la Terre, pour les mettre en sécurité.
Ainsi, sera un jour découvert ce qu'une planète a fait à une autre !
Enki approuva les paroles de son frère. Ils enfermèrent ME et autres objets dans des coffres dorés et les enterrèrent dans les profondeurs de la Terre, à Sippar, pour la postérité.
Leur tâche accomplie, les chefs attendirent le signal du départ, observant avec appréhension l'approche de Nibiru.
C'est dans ces moments d'attente anxieuse qu'Enki s'adressa à sa soeur Ninmah :
- Préoccupé par les Terriens, Enlil n'a pas pensé aux autres créatures de la Terre !
Lorsque les eaux déferleront sur les terres balayant tout sur leur passage, de nombreuses autres créatures, certaines venues de Nibiru, d'autres autochtones, seront condamnées à disparaître d'un seul coup.
Préservons leur Semence de Vie, extrayons leur Semence de Vie pour la garder à l'abri !
Ninmah, qui avait donné la vie, se montra sensible aux paroles d'Enki.
- Je me charge de Shurubak, occupe-toi des créatures de l'Abzu ! lui dit-elle.
Alors que les autres attendaient passivement, Enki et Ninmah se lancèrent dans une difficile tâche.
A Shurubak, Ninmah reçut de l'aide de quelques-unes de ses assistantes.
Dans l'Abzu, Enki fut assisté par Ningishzidda dans l'ancienne Maison de la Vie.
Ils récoltèrent les essences mâles et femelles, ainsi que les oeufs de vie.
A Shurubak comme dans l'Abzu, ils les conservèrent deux à deux, dans l'intention de les emporter avec eux en orbite et de les recombiner ensuite.



C'est alors que Ninurta sonna l'alarme :
- Les grondements de la Terre se font menaçants !
Nergal et Ereshkigal se firent également entendre :
- Le Pays Blanc tremble !
Les Annunakis se rassemblèrent à Sippar pour y attendre le Jour du Déluge.


10ème TABLETTE :


Les Annunakis se rassemblèrent à Sippar pour y attendre le jour du Déluge.
C'est à cette époque, alors que la tension de l'attente se faisait plus pesante, que le Seigneur Enki, endormi dans ses quartiers, eut un rêve-vision.
Dans son rêve lui apparut l'image d'un homme aussi éblouissant que les cieux.
L'homme approcha Enki. Il s'agissait de Galzu aux cheveux blancs.
Il tenait dans sa main droite un stylet de graveur, et dans sa main gauche une tablette de lapis-lazuli, lisse et luisante.
Galzu s'approcha du lit d'Enki et lui dit:
- Les accusations que tu as portées contre Enlil étaient injustifiées. Il n'a fait que dire la vérité.
Quant à la Décision d'Enlil, ce n'est pas lui qui l'a prise, c'est le Destin.
Le Sort est maitenant entre tes mains, car la Terre reviendra aux Terriens.
Convoque ton fils Ziusudra et révèle-lui sans briser le serment l'arrivée de la catastrophe.
Demande-lui de construire un bateau capable de résister à une avalanche d'eau, une embarcation submersible comme celle que tu peux voir sur cette tablette.
Que ce navire lui permette de survivre et de sauver sa famille ainsi que la semence de tout ce qui est utile, animal ou végétal.
Telle est la volonté du Créateur Universel !
Et Galzu, dans le rêve-vision d'Enki, prit le stylet, dessina quelque chose sur la tablette et la plaça à côté du lit d'Enki.



L'image disparut, la vision prit fin, et Enki se réveilla en sursaut.
Il resta longtemps dans son lit à réfléchir à son rêve.
Que pouvait-il bien signifier, de quoi présageait-il ?
Enki descendit de son lit, et c'est alors qu'il trouva la tablette.
Ce qu'il avait vu dans son rêve s'était matérialisé au pied de son lit !
Le Seigneur Enki ramassa la tablette, les mains tremblantes.
Un étrange bateau y était dessiné. Des marques avaient été gravées sur le bord de la tablette pour indiquer les dimensions de l'embarcation !
Impressionné et plein d'espoir, Enki envoya ses émissaires dès le lever du Soleil :
- Allez trouver ledit Galzu, je dois absolument lui parler ! leur dit-il.
Les émissaires revinrent au coucher du Soleil, mais aucun d'entre-eux n'avait réussi à trouver Galzu.
- Il y a longtemps déjà que Galzu est reparti pour Nibiru, lui dirent-ils.
Enki était perplexe, il ne parvenait pas à comprendre ce qui avait bien pu se passer.
Mais s'il ne pouvait percer le mystère, le message était clair !
Cette nuit-là, il se hâta vers la hutte de roseaux où dormait Ziusudra.
Pour ne pas briser le serment, ce n'est pas à Ziusudra mais au mur de la hutte qu'Enki s'adressa :
- Réveille-toi ! Réveille-toi ! dit Enki à travers le rideau de roseaux.
Lorsque Ziusudra fut réveillé, Enki poursuivit :
- Hutte de roseaux ! Ecoute bien ce que je vais te dire, suis mes instructions !
Une tempête catastrophique va balayer toutes les habitations, toutes les villes.
L'Humanité et sa descendance seront anéanties.



C'est la décision de l'assemblée qu'Enlil a convoquée, elle est irrévocable.
Anu, Enlil et Ninmah l'ont adoptée.
Ecoute bien ce que je vais te dire maintenant.
Abandonne ta maison, construis un bateau. Abandonne tes possessions, garde la vie sauve !
L'embarcation que tu dois construire, sa forme et ses dimensions, tout est écrit sur une tablette que je vais laisser contre la paroi de cette hutte.
Assure-toi que le bateau soit entièrement couvert, la lumière du jour ne doit pas pénétrer à l'intérieur.
Le gréement doit être très solide, le brai bien épais pour garantir l'étanchéité.
L'embarcation doit pouvoir être capable de résister au tangage et au roulis pour pouvoir affronter l'avalanche d'eau !
Tu as sept jours pour construire le bateau et rassembler ta famille.
Emporte suffisamment d'eau et de provisions, prends aussi tes animaux familiers.
Le jour venu, tu recevras un signal.
Un navigateur qui connaît les eaux, désigné par moi-même, se rendra auprès de toi.
Ce jour-là, tu devras embarquer et bien fermer les écoutilles.
Un Déluge implacable venu du sud s'abattra sur les terres, dévastant toute vie sur son passage.
Il libérera ton bateau de ses amarres et le secouera dans tous les sens.
Ne crains rien : le navigateur guidera le bateau en lieu sûr.
A travers toi, c'est la semence de l'Homme Civilisé qui survivra !
La voix d'Enki s'éteint. Emu, Ziusudra tomba à genoux :
- Mon Seigneur ! Mon Seigneur ! cria-t-il.
J'ai entendu ta voix, laisse-moi voir ton visage !
- Ce n'est pas à toi, Ziusudra, que j'ai parlé, mais à la hutte de roseaux, répondit Enki.



J'ai prêté serment et suis tenu de respecter la décision d'Enlil comme tous les autres Annunakis.
Si tu voyais mon visage, tu mourrais sans doute comme tous les autres Terriens.
Maintenant, hutte de roseaux, écoute bien mes mots :
L'objectif de ce bateau doit rester secret !
Lorsque les habitants de la ville te poseront des questions, tu leur répondras ainsi :
"Le Seigneur Enlil est fâché contre mon Seigneur Enki.
Je vais naviguer jusqu'à la demeure d'Enki dans l'Abzu, et essayer d'apaiser Enlil."
Un silence s'en suivit. Ziusudra sortit de derrière du mur de roseau. Il vit une tablette de lapis-lazuli qui luisait dans la clarté lunaire et la prit entre ses mains.
Dessus était gravée l'image d'un bateau dont les dimensions étaient indiquées par des encoches. Ziusudra était le plus sage des Hommes Civilisés, il comprit ce qu'il avait entendu.
Au matin, il annonça aux habitants de la ville :
- Le Seigneur Enlil est en colère contre mon Seigneur Enki.
Par conséquent, il est fâché contre moi.
Je ne peux plus résider dans cette ville, et je ne peux pas non plus m'aventurer dans l'Edin.
Je vais donc voguer vers le domaine du Seigneur Enki, dans l'Abzu.
Je vais me hâter de construire un bateau pour quitter cet endroit.
Ainsi, la colère du Seigneur Enlil sera apaisée, les difficultés prendront fin, et le Seigneur Enlil vous couvrira de bienfaits.
La matinée n'était pas finie que déjà le peuple se réunissait autour de Ziusudra pour l'aider à construire son bateau plus rapidement.
Les anciens transportaient du bois adapté à la construction navale, les enfants allaient chercher du bitume dans les marais.
Alors que les menuisiers agençaient les planches ensemble, Ziusudra faisait fondre le bitume dans un chaudron.



Il imperméabilisa l'intérieur et l'extérieur de l'embarcation, et au bout du cinquième jour le bateau était prêt, semblable en tout point à la représentation gravée sur la tablette.
Souhaitant que Ziusudra parte au plus tôt,les habitants apportèrent eau et nourriture au bateau.
Ils se retiraient la nourriture de la bouche afin d'apaiser Enlil au plus vite !
Des animaux à quatre pattes furent montés à bord, et des oiseaux des champs embarquèrent d'eux-mêmes.
Ziusudra fit entrer son épouse et ses fils, suivis de leurs femmes et de leurs enfants.
- Que ceux qui souhaitent rejoindre la demeure du dieu Enki montent à bord, quels qu'ils soient ! annonça Ziusudra à l'assemblée.
La population espérant qu'Enlil apporterait l'abondance, seuls quelques artisans acceptèrent son offre.
Le sixième jour, Ninagal, le Seigneur des Grandes Eaux, rejoignit l'embarcation.
Il était l'un des fils d'Enki et avait été sélectionné pour être le capitaine du bateau.
Dans sa main, il tenait une boîte en bois de cèdre qu'il garda à ses côtés pendant le voyage.
- Elle contient les essences de vie et les oeufs de vie des créatures vivantes, collectées par le Seigneur Enki et par Ninmah, afin qu'ils survivent à la colère d'Enlil et permettent
de ressusciter la vie sur Terre ! expliqua-t-il à Ziusudra.
Ainsi, tous les animaux furent cachés par couples dans le bateau.
Dans le bateau, Ninagal et Ziusudra attendirent l'arrivée du septième jour.
Le Déluge était attendu au cours du cent vingtième Shar, le dixième Shar que vivait Ziusudra.
L'avalanche surgit dans la position de la constellation du Lion.



Je vais maintenant raconter comment le Déluge balaya la surface de la Terre, comment les Annunakis s'échappèrent et comment Ziusudra survécut dans son embarcation.
Les jours précédant le Déluge, les grondements de la Terre ressemblaient à des gémissements de douleur.
Les nuits précédant la catastrophe, Nibiru apparut dans le ciel telle une étoile brillante.
Puis la nuit se fit en plein jour. Au cours de la véritable nuit suivante, la Lune disparut, comme avalée par un monstre.
La Terre se mit à trembler, agitée par une force invisible.
Dans les premières lueurs de l'aube, un nuage noir s'éleva à l'horizon.
La lumière du matin fit place à l'obscurité, comme voilée par une ombre funeste.
Puis un roulement de tonnerre se fit entendre, et des éclairs illuminèrent le ciel.
- Il faut partir ! Il faut partir ! Utu donna le signal aux Annunakis.
Accroupis dans leurs vaisseaux, les Annunakis s'élevèrent dans les cieux.
Ninagal vit les éruptions lumineuses de Shurubak, qui se trouvait à dix-huit lieues.
- Ferme tout ! Ferme les écoutilles ! cria Ninagal à Ziusudra.
Ensemble, ils abaissèrent la trappe que dissimulait l'écoutille.
Le bateau était complètement étanche, pas un rayon de lumière ne pénétrait à l'intérieur.
Ce jour-là, ce jour inoubliable, le Déluge commença par un rugissement.
Dans le Pays Blanc, au dessous de la Terre, les fondations de la planète tremblaient.
Puis dans un grondement de tonnerre, la couche de glace glissa, attirée par l'invisible force de Nibiru, et s'écrasa dans l'océan.



Les morceaux de glace s'écrasaient les uns après les autres, la surface du Pays Blanc s'effritait comme une coquille d'oeuf brisée.
Une vague monumentale s'éleva d'un seul coup, un mur d'eau montant jusqu'au ciel.
Au-dessous de la Terre, une tempête d'une violence sans égale se mit à rugir.
Ses vents poussaient le mur d'eau vers le Nord, et il atteignit bientôt l'Abzu.
Il traversa les régions habitées et submergea l'Edin.
Lorsque la vague atteignit Shurubak, elle arracha le bateau de Ziusudra à ses amarres.
Elle le ballotta dans tous les sens et l'avala, le plongeant dans les abysses.
Bien qu'entièrement submergé, le bateau tint bon. Pas la moindre goutte d'eau n'y pénétra.
Au dehors, la vague fondit sur le peuple comme le ferait une armée.
Les hommes se perdirent de vue les uns les autres, le sol disparut, il n'y avait plus que de l'eau.
Tout ce qui s'était tenu sur le sol avait été balayé par les eaux.
Avant la fin du jour, le mur d'eau, gagnant de la vitesse, engloutit les montagnes.
Les Annunakis tournaient autour de la Terre dans leurs Barques Célestes.
Les compartiments étaient bondés.
Accroupis le long des murs extérieurs, ils tentaient de voir ce qui se passait en dessous d'eux, sur Terre.
Dans la Barque Céleste où elle se trouvait, Ninmah criait comme une femme en train d'accoucher.
- Ceux que j'ai créés gisent comme des libellules noyées dans une mare d'eau.
La vague a détruit tout ce qui vivait ! se lamentait-elle.
A ses côtés, Inanna aussi pleurait et se lamentait :
- Tout ce qui est sous nos pieds, tout ce qui vivait est devenu argile !



Ninmah et Inanna continuaient à pleurer pour alléger leur coeur.
Assistant à la furie des éléments, les autres Annunakis étaient remis à leur place.
Ils avaient été témoins du déchaînement d'un pouvoir supérieur aux leurs.
Ils rêvaient de mordre dans un fruit de la Terre, de tremper les lèvres dans une coupe d'élixir fermenté.
Ils se lamentaient en pensantau passé.
Une fois que l'immense vague eut balayé la surface de la Terre, les canaux du ciel s'ouvrirent et la pluie se déclencha.
Sept jours durant les eaux du dessus se mélangèrent à celles du dessous.
Le mur d'eau, ayant atteint ses limites, cessa alors ses attaques, mais la pluie continua à tomber du ciel pendant quarante jours et quarante nuits.
Depuis leur perchoir, les Annunakis ne pouvaient voir qu'un immense océan là où jadis se trouvaient les terres émergées.
Seuls les sommets des montagnes sortaient de l'eau, et avaient maintenant des allures d'îles. Tout ce qui se trouvait sur les terres émergées avait péri sous l'avalanche d'eau.
Puis, comme au Commencement, les eaux rejoignirent leurs bassins. Les vagues allaient et venaient, le niveau baissait de jour en jour.
Quarante jours après que le Déluge eut balayé la Terre, la pluie cessa.
Au bout de quarante jours, Ziusudra ouvrit les écoutilles pour observer les environs.
C'était une belle journée, une douce brise soufflait. Le bateau flottait seul sur une vaste mer, aucun autre signe de vie à l'horizon.
Ziusudra s'assit et dit à sa famille d'une voix plaintive :
- L'Humanité et tous les autres êtres vivants ont été rayés de la surface de la Terre. Nous sommes les seuls survivants, mais je ne vois aucune terre où poser le pied !


C'est alors que Ninagal, le capitaine qu'Enki avait désigné, dirigea l'embarcation vers les pics jumeaux des Arrata, puis vers le Mont du Salut.
Ziusudra était impatient. Il libéra les oiseaux qui se trouvaient à bord pour qu'ils partent à la recherche de la terre ferme afin de vérifier si quelques plantes avaient survécu.
Il envoya une hirondelle, puis un corbeau.
Tous deux revinrent au bateau. Il envoya une colombe, qui revint avec une brindille d'arbre !
Ziusudra savait maintenant que la terre ferme avait enfin émergé.
Quelques jours plus tard, la course du bateau fut arrêtée par des rochers :
- Le Déluge est passé, nous sommes au Mont du Salut ! annonça Ninagal à Ziusudra.
Ziusudra ouvrit l'écoutille étanche et sortit de l'embarcation. Le ciel était clair, le Soleil brillait, une brise légère soufflait.
Il se dépêcha d'appeler sa femme et ses enfants, leur demandant de le rejoindre.
- Prions le seigneur Enki, remercions-le ! leur dit Ziusudra.
Avec ses fils il rassembla des pierres et construisit un autel, puis il alluma un feu qu'il alimenta avec du Bois parfumé.
Il choisit une agnelle immaculée et l'offrit en sacrifice à Enki.
C'est alors que depuis sa Barque Céleste, Enlil s'adressa à Enki :
- Descedons sur les pics d'Arrata à bord de Tourbillons afin d'observer la situation et de décider ce que nous allons faire !
Alors que les autres restaient en orbite dans leur Barques Célestes, Enlil et Enki descendirent sur Terre.
Les deux frères se retrouvèrent avec le sourire et se donnèrent une accolade.
Soudain, Enlil perçut à sa grande surprise l'odeur d'un feu de Bois et de viande grillée.
- Qu'est-ce que cela veut dire ? s'écria-t-il.



Quelqu'un aurait-il survécu au Déluge ?
- Allons voir ! répondit docilement Enki.
A bord de leurs Tourbillons, ils rejoignirent l'autre pic d'Arrata.
Apercevant le bateau de Ziusudra, ils se posèrent à proximité de l'autel que ce dernier avait construit.
Quand Enlil vit Ninagal parmi les survivants, il laissa éclater sa colère.
- Tous les Terriens devaient périr ! s'écria-t-il, furieux.
Il bondit vers Enki, déterminé à le tuer de ses propres mains.
- Ce n'est pas un simple mortel, c'est mon fils ! cria Enki désignant Ziusudra.
Enlil hésita un instant.
- Tu as rompu ta promesse ! s'écria-t-il.
- C'est à un roseau que j'ai parlé, pas à Ziusudra. répondit Enki.
Puis il raconta son rêve-vision à Enlil.
Alertés par Ninagal, Ninurta et Ninmah les avaient rejoints.
Lorsqu'ils apprirent les faits, ils ne s'emportèrent pas contre Enki.
- La survie de l'Humanité doit être la volonté du Créateur Universel, dit Ninurta à son père.
Ninmah porta la main au collier de cristaux qu'Anu lui avait offert et prononça un serment :
- Je promets que l'Humanité ne doit plus être anéantie.
A contrecoeur, Enlil prit les mains de Ziusudra et de son épouse Emzara et les bénit :
- Je vous souhaite d'être féconds, de vous multiplier et de peupler à nouveau la Terre ! leur dit-il.
C'est ainsi que les Temps Anciens prirent fin.


Notez qu'Enlil avait une grande haine envers l'humanité, car la création même des humains ne lui plaisait pas depuis le début; mais jamais il n'a provoqué volontairement le Déluge pour anéantir l'humanité, contrairement à ce que l'on voit marqué partout sur internet ou dans les livres de mythologie.

 

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Commentaires
M
Ce que moi je ne comprends pas c’est comment et pourquoi la Nature peut « décider » d’exterminer toute une civilisation alors que cette dernière n’est pas vraiment coupable du problème qui se produit entre les annunakis et les humains. Les Annunakis sont comme no parents et même plus encore... il peuvent vivre des milliers d’années et rien que pour ça nous sommes comme des bébés pour eux et les enfants ne savent presque rien. La nature est une mère de la sagesse et on ne doit pas tuer... donc moi j’ai beaucoup de mal à croire que ce soit une catastrophe naturelle qui a causer le déluge.
S
Il y a un mensonge au minimum si se sont les écrit de sitchin ils disent de conserver la semence juste la semence des animaux mais il faut des utérus pour les développer c'est d'ailleurs comme ça que enki a creez l'homme d'après sitchin on ne sais pas si ils avaient des machine qui aurait pu servir d'utérus !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Essayer de trouver d'autre source svp sitchin n'est pas fiable même si il se rapproche de la vérité!!!
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